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raisons et sentiments ou comment devenir dingue

7 janvier 2016

Amour

 

Bonsoir à tous!

J espère que vous allez bien en ce début d'année 2016, que le moral est au beau fixe en dépit de ce temps mauvais et des aléas de la vie.

Pour ma part je commence avec plusieurs armes en moins, je n'ai plus de boy et ma faiblesse qui ne me permet d'exister que dans le regard et pour un homme s'est accrue.

Non je déconne mais ça fait bizarre de dormir toute seule après 6 mois de poils, ronflements, d odeur animale mêlée à du guerlain je me retrouve seule dans mon grand lit.

Mais je sais pertinemment qu' il aurait continue à me mener en bateau à me faire souffrir à se jouer de moi comme le début de notre relation. 

Oui je ai craqué sur un vieux garçon coureur de jupons, sauf que on ne change pas un homme.

Surtout que je ne l' aimais pas vraiment, uniquement physiquement et parce que on formait un beau couple, le grand blond aux yeux bleux et la petite brune aux grands yeux noisettes, il était costaud je suis relativement mince (nous les filles jamais contentes).

Mais en dehors de ça il ne parlait pas, pas de culture, il ne comprenait pas mes passions pour Bowie, Manson, Springsteen, young, rob Zombie, scorcese, visconti, risi ou Audiard. Pourquoi je ne me faisais pas pousser les cheveux et portais des jupes trop courtes, mais aussi pourquoi mon corps tatoué qui était pour lui un pur gâchis, quand à mon septum...je le sortais et il m' appelait vache laitière. 

Mais c'était confortable et à sa façon il m aimait je comblais le vide intellectuel et le vide tout court avec mes livres et mes échanges hebdomadaires avec mon maître de hôtel sexagénaire et ultra sexy Gilbert, 2hier après le service. 

Pour ensuite le retrouver ronflant avec sa page Facebook ouverte. Rien en commun. Rien. Si ce n'est est attirance physique et une envie de l' aider. 

Je étais tellement grave que je ai même eu un beguin insignifiant. 

Et puis un jour, dans un ennui complet, de mon travail, de mon homme qui n' avait même pas vu "les parrains" j ai écrit  Un peu déversé mon fiel et mon désespoir. 

Ça m a fait du bien sur le coup et puis comme je n' écris pas pour que l'on me regarde qu on comprenne je m' attendais à une absence de visiteurs, et puis non.

Etu un jour, une plume bien trempée a enfin réussi à me faire réagir. Un choc. Le coup de foudre épistolaire fut immediat, une aisance, un humour... j ai craqué. 

J ai déjà eu une histoire épistolaire qui a fini en drame sexuel et vaudeville foireux, un malade quoi, que j'ai jeté un mois plus tard, et pourtant aucun obstacle cette fois.

Jet suis tombée amoureuse de cette personne, je ne l' ai jamais vue, je ne le connais pas mais j aime son écriture, sa voix.

Seulement les êtres humains sont peureux et ne vont pas au bout des choses.

Ils préfèrent se complaire dans leur petite existence étriquée et bien sous tous rapports pour ne pas vivre pleinement.  Rester avec quelqu'un qui ils n' aiment plus ou n'otn ont plus rien en commun pour ne pas rester seul et parce que c'est est tellement confortable quand on est installé et enraciné comme un petit vieux de 25 ans qui préfère fuir.

Cet homme est immonde. D ailleurs il n a jamais voulu me rencontrer, ce qui le faisait bander c'était de faire de la peine et le jeu de séduction que il n'a plus avec son insignifiante bobonne, bah ouais des fois il faut du temps pour trouver la bonne personne certains à 30, 40...

Pour 2016 je vous souhaite de trouver cette personne et si possible trouvons là ensemble. 

 

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4 janvier 2016

31 Epilogue

 

Vous allez me dire que j' ai agi comme un connasse égoiste le 31 alors que j'étais bien entourée?

C'est vrai, la faute à qui, aux hommes. Je n'entendais pas le tumulte autour de moi, le "bonne année" hurlé et joyeux, moi endormie, léthargique, plongée dans la mélancolie en position foetale avec une jolie robe, quoi de plus pitoyable.

Le lendemain quand elle m' a demandé si j allais mieux, je n'ai rien pu avalé et ai dormi quasi toute la journée, pleuré aussi. Le surlendemain j'ai lu, j'étais chez moi, avec ma mère. Comment j'ai réussi à voyager en pleurant comme une conne? Je ne sais pas mais je saisqu'on me regardais à la volée, l'eau salée qui gouttait sur mes lèvres, la vie de ma fenêtre semblait paisible et sans histoire.

Aujourd'hui  7 h à sonné je me suis habillée, un peu sex j'avoue et j' ai revêtu mon masque, tout le monde à gobé. 

Poudre aux yeux, est-ce que je vais mieux? Je ne me pose pas trop de question je travaille et j'écris.

Difficile de dormir à nouveau seule, mais peut être mieux pour moi.

1 janvier 2016

Je suis tombée amoureuse d'un homme sans

 

 

Je suis tombée amoureuse d'un homme sans enveloppe physique.

Idem, le résultat d'un algorythme compliqué, qui n'aurait jamais du ne jamais se faire rencontré 2 écritures 2 états d"esprit, de façons de voir la vie si différente, le mensonge et la vérite.

Au début ce n'étaient que,des commentaires, des échanges de point de vue.

Il écrivait bien, bourré d'humour et phylosophe. Mensonge

J'étais déjà éprise;

On a poussé l'échange plus loin, on s'est raconté nos vies, lui propriétaire et pacsé avec une femme qu'il n'aime pas pour raisons financières, moi surdiplomée avec un emploi précaire et un homme égoiste.

C était désagréable, mais à 25 ans, bientôt 26, je m'imagine encore des romances à la Tom Hanks et Meg Ryan ou l'amour est plus fort que tout et qu'il est possible de se trouver peu importe la distance et la situation sentimentale dans laquelle on se trouve, surtout si l on aime plus que tout.

On est tombé amoureux.

Du moins il m a fait croire qu'il l'était, parce que que je lui ai demandé 2 jours pour se rencontrer qu'il ne me les a jamais accordée.

C'est idiot parce que malgré moi je continue à me faire berner.

Résultal, j' ai prétexté unn mal de ventre et une envie de vomir térrible pour m'isoler, avaler des médicaments et dormir, en espérant que le lendemain serait plus doux.

Il n'en est rien, l'au brulante sur mon dos ne m' a pas révéillée de ma léthargie; l odeur d' "un bois vanille" ne m' a pas faite sourire

Bien sur j'ai à nouveau pleuré.

Mais au moins je suis peut être seule mais mal accompagnée.

1 janvier 2016

Parenthèse dramaticohumoristique

Bonjour à tous!

Aux quelques fidèles qui me lisent depuis leur canapé, Comme vous le savez je change bientôt de vie, le 15 décembre l'enfer s'arrête, du moins je l'espère.

Je change de boulot, ne tenant pas un blog de tutoriel beauté avec des tutos coiffures( qu'est ce que tu veux que je te fasse des tutos coiffures avec 5 cm de cheveux sur la tête) qui pourrait me rapporter 15000 € par mois n'est ce pas Enjoy mon cul ou ne chante pas comme une blondinette de 40kg et qui se prétend sainte en remuant son petit cul ou en faisant du business de tout et n'importe quoi( Merci Taylor), me voilà donc dans l'obligation de travailler pour gagner ma vie, essayer de lui donner un sens quelconque.

Bah ouais je suis jolie je sais jouer la comédie mais je ne fais pas de 36 et n'ai pas le moindre piston. Est-ce que je dois pleurer, est-ce que je dois les envier, est-ce que je dois ruminer, poster des photos ou des vidéos amateur, me faire remonter la bile? Non.

Mais tu sais des fois la bile un jour te réveille, et tu te tord de douleur comme un mort agonisant en petite culotte sur le carrelage de ta salle de bain.

Cette histoire est vieille de mardi. Je ne sais si j'en avais parlé mais j'étais censée avoir rompu avec mon chasseur négoce en vins mais le coeur à ses raisons que la raison...En dépit de tout notre passif, des souffrances, des sacrifices que j' ai pu faire, je l'aime, c'est comme ça, j'aimerai qu'il en soit autrement mais je trouve tous les autres fades et sans saveur. Peut être que je changerai, mais j'aime me faire mal sinon je n'aurai pas tenu autant dans un monde aussi immonde et immoral qu'est celui de l'hôtellerie restauration.

Mardi donc, je me couche avec mon bien aimé, j'ai froids, je me colle à lui, j'enfouis ma tête sur son torse poilu qui sent habit rouge et je finis par m'endormir...

A 6h30, soudain, une terrible crampe sur la gauche de mon ventre me réveille, elle me tue. Je cours aux toilettes vomis mes tripes(principalement de la flotte, le reste de toutes les conneries ayant étés ingurgitées la veille digérées).

L'homme accourt à la salle de bain allongée j'ai chaud je transpire le visage collé au carrelage.

J essaie de me recoucher, je me tord de douleur(Est- ce que c'est la faute aux oréos ou au disarrono que j'ai bu toute seule dans mon bain?)

Ni une ni deux, on part aux urgences, je suis pliées en deux, un mélange de mémé et du bossu de notre dame, l homme rigole malgré lui, j'ai envie de le tabasser mais la douleur m'en empêche.

Arrivée aux urgences je ne tiens toujours pas je m'allonge sur le sol, on fini par me transporter dans un box.

Dans les hopitaux, parce que je ne vous cacherai pas qu'il ne s'agit pas de mon premier séjour, j'ai toujours remarqué qu'il y avait 2 types d'infirmières: les grosses connasses tu te demande pourquoi elles font ce boulot et les adorables, sur ce coup là j'ai eu de la chance.

Après il y a l'attente, parce que attendre 3h avant qu'on 'occupe de toi alors que sur l'échelle de la douleur tu es à 8 c'est plutôt difficile. et comme j'ai réitéré jeudi(hier), bref je vais vous raconter tout ça.

Dans le box j'hurle, depuis déjà 3h, j'ai l'impression que quelqu'un est entrain d'essorer mes boyaux, je crève.

S'en suit l' éternelle question:" Etes vous enceinte?- Mais non!!!!- Vous en êtes sûres-Certaine-On va tout de même vous faire un bilan sanguin"

Salope, salope!!!! Je sais ce que j'ai, c'est de la matière fécale je suis remplie bien qu'allant chaque jour aux toilettes, je pense que c'est cette douleur.

Je pleure, je craque, elles me piquent 3 fois avant d'y arriver, et après c'est la perfusion, celle là aussi a eu du mal à rentrer.

Je m'apprêtais à écrire une lettre à mes proches quand on me propose enfin de la morphine parce que la douleur est très forte, 5 minutes plus tard mon Jules entre,il rit à moitié, je suis shootée c'est le pied, je ferme les yeux je lutte lui sourit, il me dis qu'il part travailler et qu'il reviendra avec tout ce qu'il faut.

C'est pas grave j'ai la morphine...

Mais ça y est on m' appelle, radio.

Sur un fauteuil on me transporte, je suis courbée, je me maintien droite, radio, clac, clac.

Ensuite je pense que ma radio a fait le tour de l'hôpital...remplie de merde:"Un ballon de Rugby sur la gauche, un ballon de hand au milieu et encore de l'autre côté" c'est pas moi qui l' a dit c'est le docteur...J 'aurai pu vous,la mettre en pièce jointe mais je ne veux pas vous faire pleurer avant les fêtes, en ayant moi même déjà pleuré...

Alors ça y est o va enfin pouvoir s'occuper de moi!

C'est parti, un lavage à faire moi même, comme une sodomie avec un sexe du qualibre d'un crayon de papier, j'attends 10 min je me tord de douleur je vais aux toilettes, quasi rien.

Nous voila reparti pour un 2 ème toujours rien, j'ai mal je veux ma morphine, i like to do it with you...

Ils se décident finalement à me donner un liquide à boire, à la vanille soit disant je n'ai céssé de le vomir.

Mon chéri revient avec ma grenouillère, une part de flan, des marrons glacés alors que rien de l'idée de les voir me donne la gerbe.

Je suis shootée, j'ai mal aussi et je ne parviens pas à lui parler. il repars, un infirmier vient me rapporter un"repas léger", l'horreur absolue une soupe qui ressemble à de la flotte, un fromage blanc(je hais le fromage blanc) une compote à la banane. Et un deux trois vomi! On m' a demandé de reboire le liquide, j'ai essayé, j'ai réussi à boire 3 verres sans vomir. Vers 5h du matin je suis allée aux toilettes, pour pas grand chose, idem le matin mais ça allait un peu mieux, même si j'étais toujours plié.

Ce matin là(mercredi) mon homme est venu me chercher, c'était le jour de son anniversaire. J'étais vraiment mal, mais je voulais au moins déjeuner avec lui, essayer et qu'il me ramène chez mes parents que je puisse faire la nouvelle "purge" qu'ils 'avaient administrée.

Après lui avoir donné son joli cadeau(une montre suisse dont je tairai la marque), j'essayais de faire bonne figure mais je crevais.

Arrivée au restaurant, j'ai avalé la moitié de mes pasta alle vongole, et puis je l' ai préssé pour qu'on rentre il m'a déposé et est vite reparti.

Je me suis retrouvée seule avec mon litre d'eau et ma préparation chocolatée à boire, suivi de trois litres de boissons de mon choix.

J'ai attaqué, jai fini me suis un peu vidée, me suis couchée, à 3 heures douleur foudroyante, 2 spasfon, un lexo(ok je serai un très mauvais médecin je le sais, mais quand je vais mal je suis prête à tout pour qu'on vienne m'absoudre).

Le lendemain à 8h je n'avais pas le choix je devais retourner aux urgences, avec Maman cette fois.Après avoir attendu 3 h on est venu s'ocupper de moi.

Ils ot obté pour un grand lavement... Un grand lavement c'est quand on te fout un litre d'eau tiède avec un produit mélange tout ça^par le rectum.

Je vous ai déjà dit que la sodomie c'était pas mon truc?

C'était pareil. Elle m'a dit de me détendre que ça allait bien se passer, et puis elle l' aenfoncé, le tube.

J'ai eu tellement mal...une fois la besogne terminée elle m'a demandé de garder le produit le plus longtemps possible.

Au bout de 10 min dans le couloir des urgences je filais dans les toilettes publiques, et là juste de la flotte rien d'autre.

Ils m'ont à nouveaux mise dans le couloir, à la file indienne entourée de vieux et m'ont donné un produit à boire, un énième, et m' ont dit d'aller me vider dans les toilettes publiques.

J'ai commencé à craquer, mais comme il faut.

Je me suis résignée sur mon brancard, devant moi un vieux porc se masturbait, posé sur le côté je voyais son cul et le geste dèrrière lui.

Je n'avais pas la moindre force mais je l'aurais trucidé. Ensuite un vieux avec les burnes à l'air venait aux toilettes toutes les 3 minutes.

Là j'ai pété un plomb, pliée en deux j'ai d'abord dit au type d'arrêter d'utiliser ces chiottes alors qu'il en avait en face de lui, et ensuite j'ai dis à l'autre" Vous êtes un vieux porc pervers vous ferez mieus d'être eutanasié" il m' a sourit?!!!!! J'ai hurlé aux infirmières que je ne pouvais pas rester dans ces conditions entre l'autre qui se branle et l'autre qui va cracher et faire je ne sais quoi dans les toilettes.

J'ai tellement hurlé que ça a fini par porter ses fruits, ils m'ont remis dans un box, j'ai pu boire mon produit tranquillement. et aller aux toilettes publiques:) :( Mais j'avais super mal et je n'arrivais pas à uriner, donc perfusion de débrida et sondage urinaire, j'étais vraiment en enfer.

Un jeune chirurgien est venu me voir et m'a offert mon premier toucher rectal, je suis pourtant très classique.

J'ai fini par avaler l'intégralité de la boissson, non sans difficulté c'était horriblement déguelasse.

Ils ne voulaient pas me laisser partir. Moi c'était ça ou je me défenestrai. Au moins ils ont enfin trouvé le diagnostic, qui n'est malheureusement pas bon donc je vais devoir aller voir d'autres médecins,et subir d'autres examens.

On notera quand même ce magnifique jeune chirurgien au crâne rasé et au grands yeux verts qui a palpé mon ventre de ballon de foot(un deuxième).

Je ne souhaite à personne ce que j'ai vécu.

Mais je plains le personnel, tout le monde va aux urgences pour n'importe quoi, mal de gorge, respiration difficile...c'est du grand n'importe quoi rien qu'hier 100 personnes dont 2 décès.

Mais quand je vois tous ces vieux...

Je vous jure je n'en peux plus et ces fêtes de fin d'année me foutent le bourdon.

Je vous souhaite tout de mêm d'excellentes fêtes de Noêl, avec vos proches et vos amoureux(ses)!

Et surtout buvez de l'eau!

A bientôt!

    

1 janvier 2016

Adultère

Adultère.

Combien de fois y avez-vous pensé? une fois? plusieurs fois? des dizaines de fois?

Pour ma part j'y ai pensé, l'ai fait plusieurs fois jeune et à 25 ans ou je m' imaginais enfin stable, ou plutôt plus empreinte à faire des conneries, j'ai craqué.

La faute à quoi? Peut être la faute à l'ennui, à plusieurs dysfonctionnements qui m' affectent et font de ma vie un moment désgréable, mais est-ce justifiable?

Au début ce n'était qu'un jeu, des sourires, des regards. Et puis il y a eu des mains qui s'effleurent des regards jaloux quand l'un des conjoints faisait une apparition. J'en venais même à éviter les soirées ou il se rendait, de peur de soit craquer, soit tomber sur lui et sa golioze et de rentrer avec une boule dans la gorge. Il y à tellement d'éléments dans votre vie, votre environnement qui peuvent accélérer et finir par déclencher l'adultère.

Je ne crois pas à une vie de fidélité ou encore à la fidélité tout court, peut être n'ai-je jamais rencontré la bonne personne? Ou bien suis-je destinée à ne jamais la rencontrer..... 

L'homme m' a tant déçue, il n'a jamais dérogé à ces bonnes vieilles habitudes ni à ces envies pour moi, par amour pour moi. J ai accepté tellement de choses pour lui, même physiquement, j'ai canalisé mes ardeurs vestimentaires, capillaires et corporelles tout ça pour quoi? Pour me rendre compte qu'il n' a aucun projet d'avenir, d'ambition avec moi. L'impression d'être un trophée de chasse, la bête qui a partagé une partie de sa vie.

C'est dans cet état d'esprit que j'ai commencé à me montrer plus entreprenante.

Profitant d'un week end ou l'homme n'était pas là, j'ai commencé à me montrer plus insistante, voyant que cela ne déplaisait pas à ce dernier le jeu à continué.

Le soir quand tout le monde est parti, car il m'arrive de travailler jusqu' à 2h et c'est moi qui ferme la boutique, je suis moi même partie.

Traversant la cours déserte j'avais froids et hâte de me retrouver pour une fois seule sans personne pour m'emmerder, je m'imaginais lire dans mon lit tranquillement avec un chocolat et mon bouquin, le pied.

J'ai donc traversé la cours pour retrouver ma vieille Prelude et partir me reposer tranquillement.

Il était là, il fumait une cigarette. Il l'a terminée et jetée par terre, m'a proposé si j'en voulais une, j'ai refusé(je crapote et je suis asthmatique sévère).

Il m' a demandé si j'allais bien, je lui ai dit que non pas vraiment que je me sentais déboussolée et que toute cette histoire ça avait été n'importe quoi.

Il m' a assuré que non, que tout allait bien se passer. J'ai commencé à avoir les yeux rouges. Il m'as dit" je t'en prie arrête" et m' a pris dans ses bras, ma tête en dessous de son épaule car trop grand j'ai regardé vers son visage et là je l'ai embrassé, lui aussi, c'est devenu plus brutal et puis stop. Et là comme une abrutie j' ai maugrée "euh je suis... je.. je vais y aller

- Euh oui d'accord moi aussi"

Et je suis montée, du genre, c'est trop bizarre, pourquoi j' ai fait ça qu'est ce qu'il va penser de moi.

Moi qui m'imaginait dans un état de léthargie pas possible je n'arrivais pas à fermer l'oeil, j'ai pensé à sa douceur, à son regard tendre à la chaleur qui m' avait appaisée, étant ces derniers temps en poie à la plus grande nervosité.

Le résultat c'est que je n'en suis que plus perdue sachant que cette histoire est impossible peut-être me suis-je encore infligée un mal supplémentaire.

Bien à vous

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1 janvier 2016

Béguin

 

J'ai le béguin.

Je n'en voulais pas cest venu comme ça, sans que je demande quoi que ce soit.

Au début je l' ai apperçu, j'ai eu un coup j'avais chaud je me sentais débile dans le sens de faible, et puis il m' a sourit et là j' ai dégringolé... Pas du tout mon genre pourtant mais une douceur dans la voix et dans l' attitude. Et puis doucement j' ai joué alternant séduction et indiférence, indifférence et séduction. C'est tellement ridicule, étant mutuellement casés et pourtant ne pouvant réprimer et refouler.

C'est peut être l'attrait de la nouveauté, ou le fait de savoir que c'est quelque chose que je ne pourrais pas avoir qui m'excite tant, et pourtant quand j'y pense, je ne peux m'empêcher d'avoir la gorge qui se noue et le regard las.

Une nuit je me suis endormie, et j'ai commencé à rêver de lui, nos mains se touchaient il m'embrassait avec tendresse, j'avais des papillons dans le ventre.

Quand je me suis réveillée et rendue compte que ce n'était qu'un rêve et que j' ai apperçu une chemise de mon homme officiel j' ai eu mal au coeur et me suis recouchée.  Comment pourrais-je expliquer et justifier mes pensées. Comment je pourrai expliquer ces réactions si bizarres. Pourquoi lorsqu'il nous a présenté son amie j' ai eu l' impression qu'on essorait mes tripes. Pourquoi ce soir là, quand, j'ai repris ma voiture pour partir je me suis mise dans un premier temps à hurler, puis à pleurer.

Qu'est-ce qui cloche chez moi? Peut-être pourriez-vous m' aider? Le pire étant que je ne pense pas qu'il soit hermétique, parfois un regard en dis long ou bien suis-je en train de me faire des films?

J'ai envie de lui écrire, de le lui dire mais j'ai tellement peur de me ridiculiser et d'être encore plus frustrée que je ne le suis déjà. Je sais que ce sont des sentiments interdits, j'ai beau essayer de refouler il hante mes nuits et le fait de le voir régulièrement n'arrange pas ma situation. C'est là le drame, dans peu de temps je serai éloigné de lui définitivement, et je pense que c'est ça qui me permettra d'oublier.

En attendant je me morfond et j'ai toujours cette boule quand je le voie, du coup je l'évite et je pense que mon béguin n'en est que plus flagrant.

C'est le cas, je le sais j'en ai même honte, parfois j'ai envie de me plonger dans un trou et de pleurer tout mon saoul jusqu'à ce que j' oublie tout ou que je sois trop faible pour penser à quoi que ce soit.

C'est peut être humain, mon insatisfaction chronique.

 

31 décembre 2015

Suicide

 

Ce soir est le soir que je déteste le plus dans l'année, celui du 31 Décembre.

Celui ou une autre année s'achève alors que rien de plus n' a été accompli.

Faut dire que j'ai jamais eu de chances aves les 31, soit seule comme un porc, soit des plans foireux ou je m emmerde tellement que je plonge dans mes penséees et n' en sort que pour avaler de l' alcool. J ai toujours tenu le choc mais depuis mes 16 ans je me dis que c'est le moment idéal pour mourir.

Je pleure tout le temps à cette période, et à 25 ans, je n'ai absolument rien accompi dans ma vie, aussi bien professionnelement que sentimentalement, une merde en somme.

J'enchaine les échecs au point de me demander si D ou autre divinité ne chie pas sur ma tête quotidiennment. Ma famille souffre et j'ai honte de faire partie de la leur, si minable et misérable suis je.

On pourrait croire que j' ai de gros problèmes, et pourtant je suis très jolie et intelligente, j'ai commencé par une prépa lettre pour bifurquer dans des études merdiques.

J ai toujours été obsédée par les hommes, je ne vis qu' à travers leur prisme.

Ceux que j'ai rencontré m'ont rabaissée et traiter comme la pire des sous merdes, et je demandais encore.

Les 2 3 gentils m'ennuyaient et donc je les quittais.

Me voilà donc au lit, j'ai déjà avalé 3 lexomils et 2 licencia mais ça va j'écris, quand j'en pourrais plus j'avlerai le reste de la boite, avant que je ne m'endorme.

En attendant j'écris, j'ai mal au ventre, mes yeux me brulent et je respire très mal, quand je stresse à mort mon asthme fait des siennes.

Je voulais pas grand chose pourtant, un travail pas trop chiant, un chien et un copain que j'aime et qui m'aime, la réciprocité tu vois, pas un menteur qui a déjà une copine et qui te fait miroiter.

Je commence à céder, je ne sais pas sid'autres gens me comprennent mais je me sens très très seule, et je pense à tous les gens qui se trouvent dans le même état d'esprit que moi ce 31 Décembre.

Je vous aime profondément, essayez de prendre soin de vous.

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